Mathématiques

Opérations mathématiques de base

Pour écrire les équations d’addition et de soustraction, on utilise les symboles mathématiques appropriés. Par exemple, pour l’addition, on utilise le symbole « + » et pour la soustraction, on utilise le symbole « -« . Voici comment on pourrait écrire ces équations :

  1. Addition : L’addition consiste à combiner deux nombres pour obtenir un total. Par exemple, si on veut ajouter 3 et 4, on écrit l’équation suivante :

3+4=73 + 4 = 7

Cela signifie que si on ajoute 3 à 4, on obtient 7.

  1. Soustraction : La soustraction consiste à enlever un nombre d’un autre. Par exemple, si on veut soustraire 5 de 9, on écrit l’équation suivante :

95=49 – 5 = 4

Cela signifie que si on enlève 5 de 9, il reste 4.

Pour résoudre ces équations, on effectue les opérations indiquées. Par exemple, pour résoudre l’équation 3+43 + 4, on ajoute 3 et 4 pour obtenir 7. De même, pour résoudre l’équation 959 – 5, on enlève 5 de 9 pour obtenir 4.

Plus de connaissances

Bien sûr ! En mathématiques, l’addition et la soustraction sont des opérations fondamentales utilisées pour combiner ou séparer des quantités. Voici quelques points importants à retenir :

  1. Addition :

    • L’addition est une opération qui permet de combiner deux nombres pour obtenir un total, appelé la somme.
    • Les nombres que l’on ajoute sont appelés des addends. Par exemple, dans l’opération 3+43 + 4, 3 et 4 sont les addends.
    • L’ordre des addends n’a pas d’importance en addition. Par exemple, 3+43 + 4 donne le même résultat que 4+34 + 3, qui est 7.
    • L’addition est associative, ce qui signifie que l’ordre dans lequel on effectue les additions successives n’a pas d’importance. Par exemple, (2+3)+4(2 + 3) + 4 donne le même résultat que 2+(3+4)2 + (3 + 4), qui est 9.
  2. Soustraction :

    • La soustraction est l’opération inverse de l’addition. Elle permet de séparer une quantité d’une autre.
    • Dans une opération de soustraction, le premier nombre est appelé le minuend et le deuxième nombre est appelé le sous-trahend. Par exemple, dans l’opération 959 – 5, 9 est le minuend et 5 est le sous-trahend.
    • Contrairement à l’addition, l’ordre des nombres est important en soustraction. Par exemple, 959 – 5 est différent de 595 – 9.
    • La soustraction n’est pas associative. Cela signifie que l’ordre dans lequel on effectue les soustractions successives peut changer le résultat. Par exemple, 10(53)10 – (5 – 3) est différent de (105)3(10 – 5) – 3.

En résumé, l’addition et la soustraction sont des opérations de base en mathématiques qui permettent de combiner ou de séparer des quantités. Elles suivent des règles spécifiques en termes d’ordre des nombres et d’associativité.

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