La « sorcellerie scientifique » est un terme utilisé pour décrire le plagiat académique ou la fraude scientifique, qui se produit lorsque des chercheurs copient ou volent des idées, des données ou des travaux d’autres chercheurs sans attribution appropriée. Cette pratique est considérée comme une violation éthique grave dans le domaine de la recherche et de la publication scientifiques. Elle peut prendre différentes formes, telles que la réutilisation non autorisée de données, la copie de textes ou d’idées, la falsification ou la fabrication de résultats de recherche, ou encore la publication multiple (ou « salami slicing ») où les résultats d’une recherche sont divisés en plusieurs publications pour augmenter le nombre de publications.
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La « sorcellerie scientifique », ou le plagiat académique, est une pratique qui peut avoir de graves répercussions sur la réputation et la crédibilité des chercheurs impliqués. Elle peut également entraîner des conséquences juridiques, notamment des poursuites pour violation du droit d’auteur ou des sanctions disciplinaires de la part des institutions académiques ou des revues scientifiques.
Les motivations derrière la sorcellerie scientifique peuvent être diverses, allant de la pression pour produire des résultats rapidement à la recherche de la renommée ou du financement. Cependant, quelles que soient les motivations, le plagiat est considéré comme une pratique inacceptable dans le milieu académique en raison de son impact négatif sur l’intégrité de la recherche et la confiance du public dans la science.
Pour prévenir la sorcellerie scientifique, les chercheurs sont encouragés à suivre des pratiques éthiques strictes, telles que la citation appropriée des sources, la vérification attentive des données et des résultats, et la transparence dans la communication des méthodes et des résultats de recherche. Les institutions académiques et les revues scientifiques ont également un rôle à jouer en mettant en place des politiques et des procédures pour détecter et prévenir le plagiat, ainsi qu’en encourageant une culture de l’intégrité académique.