En 2018, le cinéma égyptien a été marqué par plusieurs productions cinématographiques remarquables, dont certaines se sont distinguées dans le genre comique. L’un des films égyptiens les plus acclamés sur le plan comique cette année-là était « Le Caire Confidentiel » (« Al Ma’arek » en arabe), réalisé par Tarik Saleh. Cependant, il convient de noter que « Le Caire Confidentiel » peut être classé davantage comme un thriller criminel plutôt que strictement comique.
Dans le contexte comique spécifique, « Weldi, Mon Fils » (« ولدي » en arabe), réalisé par Mohamed Ben Attia, a également reçu une attention positive. Bien que ce film ne soit pas exclusivement comique, il incorpore des éléments d’humour dans son récit. Il explore principalement les relations familiales et les dynamiques intergénérationnelles à travers l’histoire d’un père qui cherche son fils disparu.
Il est important de noter que le genre comique peut parfois être subjectif, et différentes personnes peuvent avoir des préférences variées en matière d’humour. En cela, il est recommandé d’explorer divers films comiques égyptiens sortis en 2018 pour découvrir celui qui correspond le mieux à vos préférences personnelles.
Parmi les autres films qui ont suscité l’intérêt en 2018, citons « Kilo 64 » (« كيلو 64 » en arabe), une comédie réalisée par Amir Ramses, qui se déroule dans le contexte du trafic routier au Caire. Ce film offre une satire sociale tout en apportant une perspective humoristique sur les défis quotidiens auxquels les habitants de la ville sont confrontés en raison de la congestion routière.
En outre, « Photocopy » (« فوتوكوبي » en arabe), dirigé par Tamer Ashry, est une comédie touchante qui suit l’histoire d’un homme d’un âge avancé qui décide de changer sa vie quotidienne monotone en ouvrant une boutique de photocopies. Le film explore des thèmes tels que la recherche de la joie de vivre et la poursuite de ses passions, même à un âge avancé.
Enfin, « Sheikh Jackson, » réalisé par Amr Salama, a également suscité l’attention en 2018. Bien qu’il ne soit pas exclusivement comique, ce film explore des thèmes humoristiques tout en racontant l’histoire d’un jeune imam qui se retrouve confronté à un dilemme existentiel en raison de son admiration pour Michael Jackson.
En résumé, l’année 2018 a été riche en diversité cinématographique en Égypte, offrant des films comiques qui explorent des thèmes allant de la satire sociale à l’humour familial. Le choix du meilleur film comique dépendra des préférences individuelles en matière d’humour et de narration. Il est recommandé d’explorer ces différentes œuvres pour découvrir celle qui résonne le mieux avec vos goûts cinématographiques personnels.
Plus de connaissances
« Le Caire Confidentiel » (« Al Ma’arek ») est un film égyptien réalisé par Tarik Saleh en 2017, bien que sa sortie en Égypte ait eu lieu en 2018. Il a été salué tant au niveau national qu’international pour sa narration captivante et son atmosphère immersive. Le film appartient au genre du thriller criminel, et bien qu’il ne soit pas strictement comique, il incorpore des éléments d’humour noir dans son exploration des tensions sociales et politiques au Caire.
L’intrigue de « Le Caire Confidentiel » se déroule dans la période agitée qui a suivi la révolution égyptienne de 2011. Le personnage principal, l’inspecteur Noredin Mostafa, interprété par Fares Fares, est chargé d’enquêter sur le meurtre d’une chanteuse populaire dans une chambre d’hôtel de luxe. L’histoire se déroule dans les rues animées du Caire, offrant une immersion visuelle dans la vie quotidienne de la ville tout en explorant les complexités du système judiciaire et de la corruption politique.
Le réalisateur Tarik Saleh a réussi à créer une atmosphère distinctive en utilisant le paysage urbain du Caire comme toile de fond, capturant les contrastes entre la splendeur des quartiers riches et la détresse des quartiers plus pauvres. Le film a été acclamé pour son réalisme et sa capacité à refléter les réalités sociales et politiques de l’Égypte post-révolutionnaire.
Quant à « Weldi, Mon Fils » (« ولدي »), réalisé par Mohamed Ben Attia, il s’agit d’un drame familial qui explore les thèmes de la perte, de la recherche de soi et des relations familiales. Le film suit l’histoire de Riadh, un homme d’âge moyen, joué par Mohamed Dhrif, qui découvre que son fils a quitté la Tunisie pour rejoindre les rangs de l’État islamique en Syrie. Riadh entreprend alors un voyage émotionnel pour comprendre les raisons qui ont poussé son fils à faire ce choix.
Bien que « Weldi, Mon Fils » ne soit pas strictement une comédie, il intègre des moments humoristiques pour équilibrer la gravité de son sujet. Le film offre une réflexion poignante sur les défis auxquels les familles peuvent être confrontées dans un contexte de radicalisation, tout en explorant les dynamiques intergénérationnelles et les questionnements personnels.
En ce qui concerne « Kilo 64 » (« كيلو 64 »), réalisé par Amir Ramses, le film aborde le thème de la congestion routière au Caire de manière humoristique. L’intrigue suit un groupe de personnages aux antécédents variés qui se retrouvent pris dans les embouteillages notoires de la ville. Le film offre une critique satirique des réalités urbaines du Caire, mettant en lumière les frustrations quotidiennes liées à la circulation et aux infrastructures routières.
Dans un registre différent, « Photocopy » (« فوتوكوبي »), réalisé par Tamer Ashry, raconte l’histoire d’un homme d’âge avancé, interprété par Mahmoud Hemida, qui décide de donner un nouvel élan à sa vie en ouvrant une boutique de photocopies. Le film explore des thèmes tels que la recherche de la joie de vivre à tout âge et la poursuite de ses passions malgré les défis de la vie quotidienne.
Enfin, « Sheikh Jackson, » réalisé par Amr Salama, offre une approche unique en abordant des thèmes humoristiques tout en explorant le conflit intérieur d’un jeune imam qui se retrouve fan de Michael Jackson. Le film examine les notions de foi, de culture pop et de quête d’identité d’une manière qui mélange habilement l’humour et la profondeur émotionnelle.
En conclusion, l’année 2018 a été une période passionnante pour le cinéma égyptien, avec une diversité de films couvrant des genres allant du thriller criminel à la comédie, tout en explorant des thèmes sociaux, familiaux et culturels. Chacun de ces films offre une perspective unique sur la société égyptienne et mérite d’être exploré pour sa contribution à la riche scène cinématographique de l’époque.
mots clés
Les mots-clés de cet article sont « Le Caire Confidentiel », « Weldi, Mon Fils », « Kilo 64 », « Photocopy », « Sheikh Jackson », et « cinéma égyptien ». Chacun de ces termes est associé à un film spécifique et à des thèmes cinématographiques particuliers. Explorons et interprétons ces mots-clés dans le contexte de la scène cinématographique égyptienne de 2018.
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Le Caire Confidentiel:
- Interprétation: Ce terme fait référence au film égyptien réalisé par Tarik Saleh en 2017, mais sorti en Égypte en 2018. Le film se déroule au Caire après la révolution de 2011 et suit un inspecteur enquêtant sur le meurtre d’une chanteuse. Il est salué pour son réalisme et son exploration des réalités sociales et politiques de l’Égypte post-révolutionnaire.
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Weldi, Mon Fils:
- Interprétation: Ce mot-clé représente le film réalisé par Mohamed Ben Attia. Bien que classé comme un drame familial, le film aborde des thèmes de perte et de radicalisation. Il suit l’histoire d’un père qui cherche à comprendre les raisons qui ont conduit son fils à rejoindre l’État islamique en Syrie, offrant une réflexion poignante sur les relations familiales et les questions existentielles.
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Kilo 64:
- Interprétation: Ce terme est associé à la comédie réalisée par Amir Ramses. Le film prend pour sujet la congestion routière au Caire, utilisant l’humour pour offrir une critique satirique des réalités urbaines. Il met en scène un groupe de personnages confrontés aux embouteillages notoires de la ville, explorant ainsi les frustrations liées à la circulation et à l’infrastructure routière.
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Photocopy:
- Interprétation: Ce mot-clé représente le film réalisé par Tamer Ashry. Il raconte l’histoire d’un homme âgé qui cherche à apporter du changement à sa vie en ouvrant une boutique de photocopies. Le film explore des thèmes tels que la recherche de la joie de vivre à un âge avancé et la poursuite des passions malgré les défis de la vie quotidienne.
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Sheikh Jackson:
- Interprétation: Ce terme fait référence au film réalisé par Amr Salama. Bien qu’il ne soit pas exclusivement comique, le film explore des thèmes humoristiques en suivant l’histoire d’un jeune imam qui est un fan de Michael Jackson. Il examine les conflits intérieurs liés à la foi, à la culture pop et à la quête d’identité d’une manière qui mélange l’humour avec une profondeur émotionnelle.
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Cinéma Égyptien:
- Interprétation: Ce terme englobe l’ensemble de la production cinématographique de l’Égypte. En 2018, le cinéma égyptien a présenté une diversité de films couvrant différents genres et thèmes. Les réalisateurs ont exploré des questions sociales, familiales et culturelles, offrant ainsi une perspective variée sur la société égyptienne contemporaine.
En résumé, ces mots-clés représentent des films spécifiques de la scène cinématographique égyptienne de 2018, chacun avec ses thèmes distinctifs. Ces films reflètent la richesse et la diversité des productions cinématographiques égyptiennes à cette époque, abordant des questions sociales, familiales et culturelles de manière engageante et souvent avec une touche d’humour.
